Peut-être un peu étonant pour ceux qui ne savent pas déjà, mais l’imitation c’est le méchanisme le plus simple pour démarrer le processus qui aboutisse finalement dans une amitié. Toujours comme au début de l’éxistence du être humain, on aprécie les gestes les plus pareils aux nôtres et éventuellement on éxige une sorte de synchronisation existentielle comprenant les souhaits, les craintes, la culture, les habitudes, la maturité, la langue et même l’apparence. Alors parfois il est possible que dans un groupe certains membres, pour quelque soit la raison, ne réussisent pas à maintenir le rythme. C’est dans ce cas qui se produit le décalage.
Une possibilité est que dès le début on est en retard. Il y a déjà des histoires et des liens qui renforcent l’image de inconnu sur toute personne qui n’a pas été present. En plus, toutes les activités faites dont les craintes ou les éxpectatifs associés ont été vaincus sont maintenant dehors la question. Il peut aussi passer dans le sens contraire: très tôt on sait qu’on partira avant le reste. Pourtant on ne compte plus pour les plans futurs, on est déjà parti. On est sans être.
L’autre possibilité c’est qu’il passe de petit à petit. Des trucs ayant des repercussions dans le longtemps. Un message sans réponse, une fête imprévue, des sourires qui manquent. Simplement, le silence remplace tout. Donc il faut faire attention à chaque fois qu’on dit non, à chaque occasion qu’on voit les choses de manière différente. Si céla se repéte beaucoup on risque à être mal compris comme quelqu’un qui ne veut pas leur-fréquenter. Si on le pense à l’invers on se rends compte que celui est parfaitement normal: toute personne est fatiguée après beaucoup essaies.
À la fin tout peut être raccourci à un problème du temps, soit-el passé, présent ou futur. Il faut qu’on fasse atention alors à ne pas être ni dérrier ni devant des autres. Céla évidemment si on s’occupe des affaires sociales.
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